• L'enfantement cosmiqueAujourd’hui, si l’on parle de la façon de faire correctement des enfants, les hommes et les femmes vont se demander où est le plaisir de l’enfantement, où est la spontanéité de l’enfantement, la beauté, la grâce de l’enfantement, si tout doit être décidé, prédéterminé et prédestiné, réfléchi, mesuré. 
    Tout ce qui est réflexion, analyse, tout ce qui est contrôle, tout ce qui est volonté leur semble appartenir à un monde mécanique, mécanisé, robotisé. Ils leur semblent qu’il n’y a plus rien d’humain, plus rien d’astral, d’émotionnel, plus rien de sentimental.

    Pour enfanter dans les meilleures conditions, les hommes doivent avoir l’attitude la plus pure, dans l’esprit et dans le cœur, et ainsi l’explosion qui préside à la naissance, à la formation, sera une explosion spirituelle au lieu d’être une explosion émotionnelle. À l’heure actuelle, la plupart des enfants sont enfantés dans une décharge de plaisir, dans une explosion de plaisir qui reste émotionnelle. C’est pourquoi, vous enfantez des enfants qui seront encore attachés à la sensualité, à la chair, au corps, parce que cela a été la vibration de base de leur vie, le rayonnement de base de leurs cellules, de leur matière.

    Que se passe-t-il lorsque l’on enfante depuis les réactions du plan mental ? Forcément la biologie, l’anatomie ne vont pas changer parce que vous passez sur un plan mental. Vous serez toujours homme, vous serez toujours femme, il y aura toujours accouplement, mais les sensations ne seront plus du tout les mêmes. Il n’y aura plus de vécu tel que vous le connaissez traditionnellement au niveau des sens et de cette décharge du plaisir que l’homme connaît si bien. Il y aura plutôt une fusion de deux énergies, une fusion de deux esprits, une fusion en fait de deux foyers de vie engendrant une troisième vie. À ce moment-là, la notion de fusion n’a plus rien à voir avec la notion du plaisir, des sens ou de la chair. Il y a une notion d’extase, et c’est la grande différence.

    Le plaisir des sens et l’extase sont complètement différents, en utilisant pourtant les mêmes objets que sont vos corps. Mais cette extase, éprouvée pendant un accouplement, ne peut avoir lieu que dans la mesure où les individus essayent de se positionner sur un plan mental. Les énergies déclenchées par les chakras, qui sont au niveau des différents organes, fusionnent, mais sur le plan mental, alors que chez l’individu qui place sa conscience sur le plan astral, l’énergie déclenchée par les chakras positionnés au niveau des organes, cette énergie va tout simplement être vécue sur le plan astral. Lorsque vous enfantez sur un plan astral, vous obtenez des enfants du plan astral. Si vous enfantez sur le plan mental vous obtenez des enfants du plan mental.

    Heureusement cette loi n’est pas inébranlable, sinon l’évolution n’aurait pas lieu. Si bien qu’à l’approche d'une fin de cycle, quel que soit le niveau d’enfantement des parents, arrivent des enfants forcément plus évolués, des enfants par exemple du plan mental alors que les parents enfantent sur le plan astral.

    Comment se passe l’enfantement sur un plan mental ?

    Nous avons parlé de la fusion, parlons maintenant de l’impact que cela crée au niveau des énergies et au niveau de l’embryon. Du fait de la fusion des parents, le dégagement vibratoire de cette fusion va se situer et s’ouvrir sur une sphère d’entités. Car les individus, qui attendent leur moment d’incarnation, ne sont pas à la fenêtre en train de regarder ce qui se passe sur le plan physique. Lorsque les parents enfantent, ils font une immense montée d’énergie qui s’ouvre sur une sphère X. Cette sphère correspond à leur degré d’enfantement, à l’énergie qu’ils ont su déclencher, à la façon dont ils ont vécu cette énergie, à tout ce qu’ils sont spirituellement, héréditairement, et qui correspond à tout ce qu’ils peuvent proposer en tant que famille, nation.Tout ceci compose ce qu’ils peuvent offrir comme destinée à une entité. 

    Donc, quand ce grand tunnel de vibration est monté et s’est ouvert sur la sphère qui correspond aux entités qui doivent s’incarner à l’heure actuelle, ce qui est avant tout prédéterminé, c’est la ressemblance des vibrations et uniquement à cause des prédestinations, à cause de ce qu’apportent les parents comme destinée, comme karma, comme éducation, comme position sociale, comme devenir social, position dans une nationetc. et non pas à cause de ce que sont les parents, ou parce que l’on reconnaît le papa et la maman de l’autre vie. 

    Les liens karmiques ne sont jamais des liens affectifs, et c’est pour cela que vous pouvez être mariés avec des gens qui sont nouveaux dans votre vie d’évolution. 
    Si vous vouliez chaque fois retrouver le même époux, la même épouse, il n’y aurait pas d’évolution et de diversité, parce que l’âme, du point de vue de son royaume, n’a pas de relation affective avec le manifesté. Elle a une relation de nécessité et une relation de volonté. Ce qui est juste devient sa volonté, ce qui est nécessaire devient sa volonté, et l’amour est pour tout le monde et pas pour la personne que l’on a précédemment connue. L’amour est pour tout le monde. 

    La conférence du 08 11 87 en 3 parties

    Qu'est-ce que le Dharma ?

    Le conditionnement de l'enfant

    La crise financière - Le partage des richesses

     

    Conférence audio non disponible

     

     Le Karma

     

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  • Être en résonance magnétique avec l'UniversAlors, comment établir cette résonance magnétique ?


    Comment faire en sorte que l’abondance de l’univers soit l’abondance dans votre vie ?
    En premier lieu, il faut enlever ces négativités dont j’ai parlé, que ce soit mes complexes, mes peurs des autres, mes passions destructrices ou tout autre chose. Je vais avoir ainsi un moment de ma vie, peut-être une heure, peut-être quinze jours, dix ans peut-être, pour que le temps de purification s’effectue. Cela dépend de l’épaisseur de mon problème, de l’impact de mes anciens problèmes d’autres vies sur ma vie-ci, et d’un certain nombre d'autres choses.

    Puis lorsque mes négativités ne sont plus autant présentes et que je ne suis pas encore persuadé de mes qualités, je suis simplement un être humain dans l’attente. Je sais que je ne suis plus ce cauchemar qui est maintenant derrière moi. C’est en acceptant d’être dans l’attente que tout mon corps et que toute mon âme va se mettre en résonance magnétique avec l’univers.

    Comme une larve entre dans un cocon pour y passer un certain temps, c'est ainsi que la transformation se fait. Mais voilà, l’homme est impatient, il ne tolère pas d’être dans un cocon, dans cette attente, en laissant silencieusement et invisiblement les transformations s’opérer. Il veut que l’on lui donne des ailes tout de suite, il veut devenir un papillon tout de suite.

    Mais que se passerait-il s’il devenait un papillon tout de suite ? N’ayant pas encore les couleurs fixées sur ses ailes, le premier rayon de soleil va le brûler. N’ayant pas encore la bonne dimension de ses ailes, au premier envol, il aura l’air de quoi ? Une petite punaise qui va tomber et se faire dévorer par le premier animal qui passe. N’ayant pas encore les antennes suffisamment développées, il ne pourra pas connaître les courants magnétiques et ne saura pas ramasser les poussières de pollen pour savoir où aller manger, où aller nicher et comment communiquer avec les êtres de son espèce.

    Je rentre dans le silence qui se referme sur moi comme un cocon et je prépare mes grandes ailes et ses belles couleurs, je soigne mes antennes qui chaque jour poussent un peu plus. J’apprends à ouvrir les yeux et à déjà repérer les quelques sons que produisent mes frères aînés et qui connaissent déjà la vie des papillons.
    Ainsi, au moment où mon cocon s’ouvre, je n’ai pas peur, le monde ne m’est pas inconnu, je sais, je suis. Et les frères aînés devenus papillons avant moi viennent me chercher et je m’aperçois que la vie est riche. Mais combien d’êtres humains acceptent de rester comme cela dans l’attente. L'homme veut souvent tout, tout de suite, avant même d’avoir chassé son cauchemar.

    Donc dans un premier temps, j’essaie de comprendre mes négativités, leurs fonctionnements, pas forcément leurs origines, mais ce qui produit aujourd’hui leur négativité, mon malheur.

    Et n’y a-t-il pas un moment où je peux arrêter ce malheur ?

    Lorsque j’analyse, que j’observe, je m’aperçois qu’il y a le plus souvent un rebord où je peux poser les pieds conscientiser, et décider de ne pas aller plus loin dans ce jeu cynique. Mais voilà, si mon désir est trop fort et me fait passer cette limite, je m’aperçois que moi-même je vais dans le malheur. Ce n’est pas que le malheur existe et vient sur moi, c’est moi-même qui franchis la limite pour aller dans le malheur.

    Si je ne suis pas conscient de cette limite, où je peux m’arrêter et dire non, c’est que je vis d’une manière automatique, beaucoup trop investit dans le monde des désirs fulgurants et que je ne suis pas suffisamment conscient. Si je suis suffisamment conscient, je ressens, le point exact où il y a un équilibre et que je peux dire non et arrêter. Même si cela me coûte, car j’ai très envie de faire telle ou telle chose. A ce point d’équilibre j’ai la force de dire non, je n’y vais pas, je ne le fais pas. Un pas de plus et j’ai peut-être ce que je veux, mais je vais aussi beaucoup pleurer.

    Au fur et à mesure que vous allez comme cela, observer vos négativités, leurs créations, leurs déroulements, vous allez sentir ce point où vous allez dire non. Aujourd’hui où il vous semble difficile d’avoir le contrôle sur vous-même, en quelque temps d’observations, cela vous sera facile. Non, pas parce que vous serez devenus très fort et très spirituel, mais par votre acte de présence, vous allez déceler l’endroit où vous pouvez arrêter.

    Imaginons cependant que la chose vous tente énormément, que vous soyez curieux et prêts éventuellement à prendre le risque de la souffrance. Allez-y, franchissez cette limite, mais allez dans la souffrance avec conscience, cela est très important. Ainsi même si une partie de vous va souffrir, une grande partie sera dans une parfaite sauvegarde. C’est comme s’il n’y avait que la partie la plus humaine en vous qui souffrirait, tandis que la partie la plus "disciple", n’aurait aucun problème.

    Donc si vous voulez vous investir dans quelque chose d’un peu fou, faites-le consciemment. Faites-le d’après une décision et non parce que vous brûlez de faire la chose.  Dites : je veux. Dites : j’ai décidé, je le fais, parce que je le veux, et non pas parce que je brûle. Si tu dis, je le fais parce que je le veux, alors tu es conscient, et  bien souvent, une situation qui n’aurait eu qu’en elle-même qu’un lot de souffrance, se transforme soudainement en une situation magnifique, d’expériences, d’échanges. Parce qu’il y a comme cela, certaines souffrances, certaines limites qui peuvent être transformées par l’énergie de la conscience et de la présence. D’autres ne le peuvent pas, tu ne peux pas le savoir au début, mais cela peut avoir lieu. Quelque soit ta décision, je te souhaite, bonne chance, mais qu’elle soit faite en toute conscience rappelle-toi. Je décide, et non pas, je brûle.

     

    La conférence du 24 10 1992 en 4 parties

    La peur, c'est la séparation - Comment se dépouille-t-on ?

    Ce que je pense, je le suis - Les pensées semences

    A toi de choisir - Osez entrer dans votre vie

    Sortir la flamme de la matière

     

    La conférence en audio

    24 10 1992

     

     Le Karma

     

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  • Question :
    Face au développement de la médecine du corps que nous connaissons aujourd’hui, qui tend vers l’acharnement thérapeutique, que devons nous faire, que pouvons-nous faire pour encourager le développement de la médecine de l’âme ?

    Vois-tu  comme toutes les connaissances, la médecine suit son cours d’évolution. S’il semble qu’il y ait du retard, parce que l’homme n’admet pas la présence du corps éthérique, la présence de l’âme, les problèmes vibratoires, la faute n’en est pas véritablement à ces hommes. La faute n’existe pas. C’est tout simplement le cycle qui essaye d’avancer vers son but.  Il n’y a ni fautif, ni élu.  Il y a des hommes qui pratiquent une médecine tout à fait nouvelle et d’autres qui pratiquent celle que tu nommes médecine du corps.

    Il y a autant de médecines qu’il existe de médecins, parce que chacun applique sa connaissance avec son état d’esprit, avec sa conviction, avec son tempérament, avec son potentiel d’amour ou de haine, d’intérêt financier ou d’intérêt du bien-être de l’homme.

    Prends un médecin tout à fait traditionnel, qui ne conçoit rien à propos de l’âme mais qui est un très grand serviteur, et quoiqu’il n’en paraisse, il veut sauver les hommes. Chaque fois qu’entrent dans son cabinet un homme, une femme, un enfant ou un vieillard qui a des problèmes, il voudrait se couper les veines pour le sauver. Même s’il donne un médicament très chimique, l’émission de lumière de la part de son âme va être plus puissante que le médicament qu’il donne.

    Le problème de la médecine vois-tu, ce n’est pas qu’elle n’arrive pas à admettre les choses de l’âme, le problème de la médecine et de toutes les autres connaissances, c’est le problème de l’homme, c’est qu’elle est exécutée par des hommes sans amour, sans lumière. Même un médicament chimique peut devenir le support d’une guérison miraculeuse si le médecin lui-même porte le bien des hommes dans son cœur.

    C’est pour cela que je souhaite que l’homme ne juge pas son frère par rapport à l’enseignement qui lui est donné sur un plan spirituel. Parce que, si l’enseignement spirituel doit servir à cela, alors que l’enseignement lui soit retiré.

    Lorsque l’on vous donne quelque chose, une connaissance, vous ne devez pas vous en servir pour juger. S’il y a connaissance de l’âme, il ne faut pas dire que les médecins ignorant l’âme, ne voulant pas en entendre parler soignent moins bien que celui qui est guérisseur et qui semble ne soigner qu’avec l’aide de Dieu.
    Parce que selon la nature du guérisseur, même s’il a un canal, s’il a un pouvoir, la guérison effectuée à travers lui ne sera pas forcément spirituelle ou divine.

    S’il pense, par exemple, à l’argent, s’il a des vibrations astrales trop intenses, à ce moment-là, ce guérisseur va être encore plus condamnable que le médecin athée qui ne pense qu’à donner des antibiotiques. Ce n’est pas parce que vous avez affaire à quelqu’un qui manipule une chose qui paraît spirituelle ou éthérée, que vous avez forcément à faire à quelqu’un qui est dans la bonne voie ou qui est digne de confiance.

    Un être tout à fait matérialiste peut être souvent bien plus digne de confiance que quelqu’un qui dit s’avancer sur le chemin et qui, à cause de quelques connaissances, se met à juger tout le monde, ou à interpréter la vie de tout le monde, ou à initier les uns et les autres, à vouloir s’ériger en gourou, être maître des hommes.

    Pour nous il n’existe pas de monde matériel et de monde spirituel. Il y a le monde. Il n’y a pas de dualité entre matérialiste et spiritualité, il y a la vérité, un point c’est tout.

    Dans votre monde, il y a des gens qui ont des conceptions et un langage spirituel, alors, on les dit spirituels, et puis il y a les autres personnes qui ont des conceptions tout autant spirituelles, mais sans le langage spirituel, alors, on dit : « Ce sont de braves gens, mais vous savez ils n’y connaissent rien dans les choses de Dieu. Ils doivent être bas dans l’évolution. D’accord, ils sont bien intentionnés, ils donnent toujours la soupe aux pauvres, mais dès que je leur parle de rayon, ils n’y comprennent rien, dès que je parle de chakras, ils s’enfuient en disant que je suis sorcier. Ils écoutent toujours la voisine qui est veuve, seule et qui a besoin de compagnie, mais moi quand j’arrive avec toute ma connaissance ils ne m’écoutent pas. »

    Je vous demande, entre celui qui croit porter la parole du Christ mais qui veut s’asseoir sur la faiblesse des autres pour se faire un trône, et ceux qui, même en manquant de connaissances, exercent tout le sacerdoce du chrétien véritable, lequel Jésus choisira-t-il ?

    Jésus choisira celui qui est vrai. Jésus, le Maître, et tous les maîtres du monde choisissent toujours l’âme la plus vraie. Je voudrais que vous méditiez sur ce mot, le vrai.
    Sentez sa puissance, la vérité. Voyez les lettres de feu s’inscrire dans votre conscience. Captez cette pureté, cette limpidité, ce dénuement, le vrai, et voyez combien aucun langage n’a d’importance à ce moment-là, même pas la connaissance, du moment que l’âme est authentiquement bonne, authentiquement céleste.

    Vois-tu il n’y a pas de connaissance qui soit basse ou haute. Il y a tout simplement un homme qui sait vivre la vérité ou pas, que ce soit à travers la médecine, la religion,  les actes du foyer,ou quoi que ce soit d’autre.

    Et pour savoir vivre la réalité, il ne suffit pas d’être instruit, mais simplement être un rayonnement bien intentionné, fraternel et amour. 

    La conférence du 28 08 1986 en 2 parties

    Les Anges gardiens - La médecine de l'âme

    Maître Sérapis - L'esprit du Mal

     

     

    La conférence en audio

    Attalens 28 08 1986

     

    1-A Introduction de Pastor sur l'unité du public et des auditeurs. La cohésion.

    Question 1 : Nous savons que pendant notre sommeil l'âme entre en communication avec la personnalité et cherche à la guider. Pourriez-vous nous parler de ce travail de l'âme. Nous pensons qu'il y a une recherche faire pour les rêves en corrélation avec l'astrologie.

    Question 2 : La question portait sur le rapport entre l'astrologie et le rêve.

    Question 3 : Comment arriver à maîtriser son sommeil et pourquoi y-a-t'il tant d'insomnies dans notre société ?

    Question 4 : Pouvez-vous nous donner des explications concernant le monde de demain et des conseils sur la préparation des femmes enceinte, c'est à dire allant vers une galvanoplastie spirituelle ?

    1- B (suite de la réponse 4)

    Question 5 : Y a-t-il, dans le fond, entre la fécondation physique et la fécondation cosmique un rapport de durée ?

    Question 6 : Quelle est l'influence de la radioactivité artificielle sur l'esprit ?

    Question 7 : Est-il possible à notre frère Pastor d'amener à notre fondation des êtres et d'aider à bien construire, en la fortifiant, une passerelle donnant sur la divine essence cosmique ?

    Question 8 : Face qu développement de la médecine du corps que nous connaissons aujourd'hui et qui tend à l'acharnement thérapeutique  que devons-nous et pouvons-nous faire pour encourager le développement de la médecine de l'âme ?

    2-A Conclusion : Sur les groupes et l'unité

     Le Karma

     

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  • Qu'est ce que la justice divine ?La terre n’est pas conçu pour que l’homme soit l’aboutissement de l’acte créateur de Dieu et qu’il y vive une belle vie. La terre est un lieu où chaque âme à droit à son expression pleine et entière, que cela porte préjudice aux autres ou pas.

    L’expression absolue est nécessaire du point de vue de l’âme. Une âme qui n’a pas droit à cette expression ne peut se connaître et se réveiller.  S’il y a un acte d’amour, c’est bien dans le sens de donner la possibilité à l’autre, quel que soit le risque pour soi, d’aller au bout de son expression. 

    L’amour va être  de regarder le voleur cambrioler son voisin et de ne voir en cela qu’une expression et de voir dans cet acte la possibilité pour cette âme de trouver le réveil. Non pas en commettant le vol, mais parce qu’en ayant commis le vol, par le karma et la souffrance ensuite endurée, trouver la possibilité d’un juste comportement. C’est cela le réveil.

    Qu’est-ce que la justice pour nous ?

    Pour nous la justice est conçue sans égocentrisme. La justice est un mouvement de liberté qui fait le poids et la mesure de ce qui est fait, pensé et dit, et qui redétermine les événements par rapport à ces mesures qui ont été prises.

    Vous appelez cela le karma, pour nous c’est une question de miroir. Vous faites quelque chose de blanc, le miroir renvoie du blanc. Vous faites quelque chose de noir, le miroir renvoie du noir. 

    Sur la terre la justice est rendue par un tribunal. On fait référence à des lois et d’après ces lois on juge si l’homme est bon ou mauvais, s’il a droit à des circonstances atténuantes ou pas. Au ciel il n’y a rien de cela, le miroir fait reflet instantanément.

    Le miroir a plusieurs profondeurs.
    Il y a un miroir qui a un impact instantané, pour exemple si maintenant vous frappez votre voisin, votre voisin va vous rendre votre gifle.

    Puis  plus vers le centre du miroir, une zone d’action différée. Un certain nombre d’actions, de pensées, de comportements vont se refléter dans cette deuxième bande et ne vont pouvoir être projetées de nouveau vers l’homme que dans un certain temps. Et, il y a une troisième zone tout au centre du miroir qui est une zone profonde. C’est ce que l’on appelle véritablement le karma que l’on colporte de vie en vie. Ce n’est plus un karma que l’on retrouve demain ou dans dix ans, c’est un karma que l’on retrouvera dans la prochaine vie.

    Lorsqu’un homme assassine, du point de vue de la justice divine, c’est tout simplement la mort qui lui est renvoyée. On ne cherche pas à savoir si c’est horrible, si c’est mal ce qu’il a fait, si c’est un acte que l’on ne peut pas accepter. Rien de tout cela n’est éprouvé dans la justice divine. Il y a simplement un couteau qui s’est levé contre un homme, alors un couteau se lèvera contre celui qui a levé le couteau.

    Si les hommes pensaient un peu plus de cette manière-là, ils arriveraient à faire régner d’avantage de justice auquel ils aspirent. Pourquoi ?

    Tout simplement parce que l’émotion serait réduite. L’émotion étant réduite, le juge humain ne commettrait pas lui-même de karma émotionnel vis-à-vis de l’assassin et de l’assassiné. Car sitôt qu’un spectateur se met à éprouver de la répulsion, du dégoût, de l’horreur vis-à-vis de l’acte, il se met lui-même dans une résonance et il contracte par là même une forme de karma, le karma de son émotion et de sa conception vis-à-vis du bien, vis-à-vis du mal et vis-à-vis de la terre entière et de l’incarnation.

    Alors, comment faire régner la justice, comment prendre soin de la ville, de la vie des autres gens, parce qu’il faut bien prendre soin de la sécurité d’une société ?

    Je te dis simplement fais régner les mêmes articles de lois, édicte les mêmes jugements vis-à-vis des mêmes assassins et des mêmes assassinés, mais pour toi-même, ne te commets pas dans l’émotion, dans cette révolte, dans cette peur. 

    Il y a une différence entre ne pas entrer dans l’horreur d’un geste, dans l’émotion suscitée par un geste et ne pas se soucier d’un geste. Il y a une subtile différence et là est l’endroit de la spiritualité. Lorsque l’homme découvre cette subtile différence, alors on peut dire qu’il a découvert la spiritualité.

    Vous pouvez tout autant vous sentir concernés et responsable de la vie, de la sécurité de vos voisins, de toute une cité et le faire avec un énorme sens du devoir, jusqu’à y perdre votre vie même, sans qu’il y ait jamais l’ombre d’une émotion qui tombe vers le bas, qui tombe vers l’anxiété, vers la révolte, vers le dégoût, vers la peine vis-à-vis de l’assassiné, la colère vis-à-vis de l’assassin.

    Dans quel sentiment va-t-on se trouver ?

    C’est un sentiment très difficile à décrire, puisqu’il est au-delà de l’émotion, sans être devenu de l’indifférence. C’est un sentiment épuré, épuré de la peur, épuré de la révolte et qui ne se soucie donc que du bien qu’il peut faire. Ce qui fait que la justice à ce moment-là n’est pas rendue depuis un point de révolte, de peur et d’anxiété, de vengeance, mais est rendue depuis un point qui ne cherche qu’à rééduquer celui qui a commis cet acte horrible.

     

    La conférence du 26 05 1990 en 4 parties

    La vrai foi

    Qu'est ce que la justice pour nous ?

    La crise financière

    Le pouvoir des étoiles - Ce qu'est l' Autre

     

    La conférence en audio

    26 mai 1990

     

     Le Karma

     

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    La conception mentale du bien et du malLe concept du mal n'est pas cette chose effroyable que l'homme imagine par ses émotions. Pour l'instant les hommes n'ont en vérité que cette conception émotionnelle du bien et du mal. C'est pour cela qu'ils sont terrorisés, culpabilisés par la notion du mal. C'est pour cela qu'ils veulent systématiquement purifier et pour purifier tuer même des individus. Tout simplement parce que celui qu'il trouve être le suppôt de Satan ou le suppôt du mal leur fait peur et puisqu'ils leur fait peur et qu'ils vivent dans le monde émotionnel, ils n'ont qu'une envie c'est de détruire.

    La conception mentale du bien et du mal est tout à fait différente, d'abord il n'y a plus de peur. Quand je regarde le mal, il est là, mais il n'a plus d'influence sur moi. Il ne risque plus de me contaminer, de me prendre comme ce diable diabolique.

    Il n'est plus capable de me séduire non plus. Dans la perception mentale du bien et du mal, le mal est un événement, un échec, tout simplement, un échec de l'intelligence, du développement, de la sensibilité. L'individu est arrivé dans la vie et il n'a pas compris, la vie était trop forte pour lui. Il s'est replié sur lui-même, et dans ce repli qui est une folie, il se détruit et il détruit le monde ou il détruit les autres. Lorsque l'on comprend le mal de cette manière-là, il ne peut plus me faire peur ni m'atteindre puisqu’il se résume à un échec de la part d'une personne qui n'a pas compris. Je vais devoir donc éduquer la personne. Ma notion du bien repose donc sur le phénomène de l'éducation. Je n'imagine plus le bien comme cette chose quasiment messianique, moi je fais le bien …..j'ouvre mon large manteau et je distribue mes hosties. Mes hosties de bonheur, de vibrations. Je n'ai plus une si haute estime de moi-même et je ne peux plus tirer gloire, ni supériorité de ce que je fais le bien, car ma notion mentale du bien ne peut plus considérer ma personne comme faisant le bien. Je vois le bien comme étant un don de générosité, un partage, une correction qu'après analyse je me sens capable d'offrir à l'autre ou pas capable et j'oriente l'autre vers quelqu'un qui est plus apte que moi. Ce qui veut dire que la notion même de ma personne change.

    Sitôt que je m'élève, et que je ne vais plus vivre uniquement dans le monde de mes émotions, mais commencer à vivre dans le mental, la perception que j'ai de ma vie et du moi, ma perception va être transformée. Le moi n'est plus le centre, puisqu'il n'est plus le centre, il n'est plus non plus le point sur lequel vont s'exercer et s'abattre les forces constructrices et destructrices de l'univers.

    C'est pour cela que je vais en tirer un certain sentiment de sécurité. Lorsque vous approchez, les initiés vous donneront toujours cette impression magnifique, qu'ils ont sûrs d'eux, mais ils ne sont pas sûrs d'eux de la même assurance que le vaniteux, de l'orgueilleux qui en fait n'est sûr que de sa puissance et de sa domination sur les autres. 

    Un initié est sûr de lui parce qu'il sait qui il est. Il n'est pas sûr de pouvoir t'aider, te répondre, il est conscient de ses limites. Mais du fait qu'il n'a plus peur et qu'il ne vit plus dans le monde fantasmagorique des émotions, il sait qui il est et de ce fait il est sûr de lui.

    Qu'est-ce que cela veut dire ? Être sûr de soi et savoir qui l'on est repose sur un contact établi avec l'âme tout simplement ...Ce n'est pas un gros programme, simplement tu imagines des choses qui ne sont pas la réalité, quand tu imagines le contact avec l'âme, tu imagines que tu vas avoir contact avec cet autre moi et qu'il va y avoir du bavardage entre les deux. Et que tu vas pouvoir faire le numéro de téléphone, chaque fois que tu vas avoir besoin d'une intuition et que tu vas dire eh oh l'âme, est-ce que je prends la rue de droite ou la rue de gauche, est-ce que tu crois qu'il y a aura des places de parking si je tourne à gauche, que je trouverais du travail si je me déplace dans tel département.

    Le contact avec l'âme ne va pas servir à ça et ne ressemblera jamais à un contact du petit moi avec le surmoi, il n'y a pas de place pour les deux. Il y a tout simplement un déplacement, un déplacement de la perception, un déplacement de l'intelligence. Tant que je reste dans mes émotions uniquement, la perception de ma vie et de qui je suis, cette perception va être non seulement soumise à mes émotions, mais du fait que je vis dans ce niveau là, je vais percevoir que je suis en danger, car je reçois autant la pression des forces constructrices que destructrices.

     

    Une partie de la conférence transcrite 

    Les méfaits de l'égocentrisme - Comment développer son intuition

    L'homme est une roue, sans arrêt en mouvement - La conception mentale du bien et du mal

     

    La conférence en audio

    26 juin 1994

     

     Le Karma

     

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