• Qu’elle est la différence entre la télépathie mentale et la télépathie basée sur une activité du plexus solaire ?

    La télépathie, comme tous les autres aspects psychiques de l’homme, est une et une seule, et la seule différence qui existe est dans sa qualité. C’est un peu comme avec votre poste de radio. Vous avez les ondes et sur ces ondes, vous avez  différents programmes accessibles.

    Admettons que sur le poste le plus bas, vous ayez les programmes les plus bas, c’est-à-dire les moins intéressants qui font plus de bruit qu’autre chose. Et puis vous montez la gamme des ondes et vous obtenez, chaque fois que vous montez, un programme plus agréable, plus sympathique et plus instructif. Il en est de même avec tous les pouvoirs qui sont en l’homme, que ce soit la télépathie ou autre chose.


    Plus vous montez dans les vibrations, et ceci est dû à vos efforts personnels, à votre évolution et à vos niveaux initiatiques, plus vos pouvoirs psychiques vont s’exercer avec qualité, pour recevoir quelque chose de qualité, ou donner quelque chose de qualité. Ce qui fait, qu’un pouvoir exercé par un homme sur le premier plan, ne va pas du tout ressembler à un pouvoir exercé sur un plan plus haut par un autre homme, et pourtant c’est le même pouvoir. Tout dépend donc de l’individu lui-même. 

    Pour tous les pouvoirs, cela dépendra toujours de l’homme, de ce qu’il est initialement dans sa vibration et son niveau initiatique. Lorsque vous analysez la télépathie chez quelqu’un qui est trop centré dans l’astral, le plexus solaire, il va sembler avoir beaucoup d’intuition, parce qu’il va pouvoir supposer qu’il va pleuvoir demain, ou il va sentir que son fils ou sa fille est en danger à l’autre bout de la terre, etc.

    Tout ce qui est donc du phénoménal et de l’événement, va être pour lui une connaissance dévoilée. Et puis plus vous montez dans la gamme spirituelle, dans les niveaux initiatiques, plus la télépathie va se déterminer comme quelque chose de différent. Forcément l’individu ne va plus pouvoir se rendre compte des choses du bas, mais il se rendra compte des choses du haut. Mais de toute manière, la loi veut que, tout ce qui est en haut, est comme ce qui est bas, en ayant connaissance du haut, il aura aussi connaissance du bas, dans une certaine mesure.

    Tous les pouvoirs dépendent de vous-même quoi que vous exerciez, que vous soyez magnétiseur, guérisseur, astrologue, télépathe, médium, ou quoi que ce soit d’autre. Comprenez bien que pour changer, pour évoluer, vous devez avant tout faire des bilans avec vous-même et pas avec le pouvoir que vous exercez. Il ne faut pas vous dire, je veux devenir ceci, cela, parce que j’obtiendrai tel niveau de conscience, ou telle initiation.

    Certaines personnes s’imaginent qu’en faisant les démarches pour devenir guérisseurs, ils vont devenir des initiés, c’est faux. En essayant de devenir télépathes, ils vont devenir des initiés, c’est faux. Vous devez faire le bilan avec vous-même, et ainsi en ayant cette authenticité, vous saurez sur quoi travailler pour développer votre pouvoir, qui à ce moment-là ne vous intéressera plus d’ailleurs comme un pouvoir, mais juste comme un service pour l’humanité.

     

    La conférence du 19 11 88 en 4 parties

     

    L’homme a à disposition l’entier des feux cosmiques - L'attachement profane

    La seule vérité est le Soi

    Dieu est tout en tout

    Pourquoi Dieu descend-il dans la matière ? - La nature de Dieu

     

    Conférence en audio 

    19 11 88

     

     Le Karma

     

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  • Le Tibet est le dernier pays d’Asie à avoir reçu le bouddhisme et a bénéficié ainsi des grandes synthèses, doctrinales et pratiques, qui avaient auparavant été formalisées en Inde. Cette diffusion du bouddhisme indien au Tibet s’effectua en deux temps : une première diffusion eut lieu au VIIIe siècle, grâce, notamment, au personnage semi-légendaire de Padmasambhava (ou Guru Rinpoché) ; elle donna naissance à l’école qu’on appelle aujourd’hui nyingmapa (l’école « ancienne »). Une deuxième diffusion lui succéda, au XIe siècle, qui donna naissance à des écoles « nouvelles » (sarmapa), représentées aujourd’hui par deux courants : kagyüpa et sakyapa. Ces trois écoles se rattachent donc à des enseignements et à des enseignants d’origine indienne, à partir desquels elles développèrent leur propre tradition.

    L’école gelugpa (à laquelle se rattache le Dalaï-Lama) n’apparut, elle, qu’au XIVe siècle et est donc proprement tibétaine.

    Ces écoles tibétaines appuient leurs enseignements sur la doctrine et la philosophie du Mahâyâna (le « Grand Véhicule ») que complètent des pratiques présentées dans des textes appelés tantra. Chaque tantra propose un ensemble particulier de pratiques variées et précises (sâdhana) : rituels, méditations, visualisations. Leur complexité, et le caractère hautement symbolique de leur présentation, réclament l’enseignement indispensable d’un guru (lama en tibétain). Le principe essentiel des tantras est la « transmutation » des émotions et des passions, qui permet au pratiquant de développer sa « nature de Bouddha ». Le dzogchen, quant à lui,  vise à reconnaître et à faire surgir directement la nature réelle de l’esprit, naturellement éveillée. Les pratiques tantriques se présentent ainsi davantage comme une voie de transformation, alors que le dzogchen se veut une voie directe, « sans efforts ni distraction ». Sous son influence se développa aussi la pratique du mahâmudrâ, très proche du dzogchen mais qui reste essentiellement tantrique.
    L’école gelugpa (à laquelle se rattache le Dalaï-Lama) n’apparut, elle, qu’au XIVe siècle et est donc proprement tibétaine.

    La distinction entre les différentes écoles (et parfois, aussi, leurs courants internes) est essentiellement due aux textes et aux « lignées de transmission » auxquels chacune se rattache, ainsi qu’à des caractéristiques sur lesquelles elles insistent davantage.

    Ainsi, l’école nyingmapa privilégie elle l’enseignement du dzogchen, alors que les autres écoles proposent plutôt un parcours fondé sur les pratiques tantriques, parachevées par l’enseignement du mahâmudrâ. D’autre part, l’école sakyapa est réputée pour son enseignement philosophique et l’école gelugpa  pour la rigueur de sa pratique monastique et l’importance qu’elle accorde à l’étude.

    http://www.tcheulang.org/les-4-lignees/

     


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  • Le meilleur synonyme de l’amour est le mot vie. Il transporte l’image exacte de ce qu’est l’amour. Imagez ce qu’est la vie, l’émotion que produit la vie quand vous la voyez naître, quand vous êtes témoin d’une naissance, quand vous devenez père ou mère, ou quand votre chienne a des petits et que vous êtes devant le spectacle miraculeux de la vie. Est-ce que vous sentez ce frisson ? L’amour c’est cela, c’est la vie. Mais quelle vie ?
    Vous voyez donc qu’en voulant parler de l’amour on parle absolument de tout ce qui constitue l’être humain, le pouvoir et la nature de la vie. C’est pour cela que l’on ne peut pas parler de choses divines de manières dissociées, qu’on ne peut pas dire Dieu est ceci, Dieu est cela, le maître est ceci, le maître est cela, parce que tous ces concepts ne sont que des aspects composant une seule et même chose. Il ne sert donc à rien de travailler d’un côté le pouvoir et d’un autre côté l’amour, il faut au contraire faire la synthèse.


    Qu’est-ce donc la vie, si pour connaître l’amour il faut d’abord passer par la vie ?
    Regardez ce qu’est votre vie au quotidien, votre vie de couple, votre vie professionnelle, avec vos amis. À quoi sert tout ce déferlement d’expériences, d’actions, de compromis. Quel sens a cette vie ?
    À travers toutes ces expériences, tous ces mouvements, tous ces actes, ce qui vous est proposé c’est justement de découvrir l’amour. C’est pour cela que vous ne le connaissez pas, c’est pour cela que vous vous interrogez à propos de lui, parce que c’est la récompense finale en quelque sorte, c’est la découverte finale. 

    Comme un maçon qui a d’abord creusé, enlevé tellement de terre, découvert des roches difficiles à retirer, découvert des nappes d’eau difficiles à neutraliser, qui est descendu au plus profond de la terre pour poser les fondations de son édifice. C’est cela que vous êtes en train de faire, c’est ce que permet justement l’incarnation. L’incarnation c’est descendre sur un plan physique, aller en bas, et comme un maçon creuser pour poser les fondations.

    Si on comprend que le maçon a besoin de poser des fondations, pourquoi l’homme a-t-il besoin de descendre dans la matière, pour quelles fondations ?
    Ce ne sont pas les mêmes c’est certain, mais cela représente les mêmes intérêts et c’est tout aussi primordial, ce sont les équilibres. Sans les fondations, l’édifice n’a pas d’équilibre et il s’écroule. De la même manière l’homme en descendant dans sa chair, dans la vie physique, dans les profondeurs, va découvrir les équilibres et ces équilibres découverts, il va rencontrer les grandes notions telles que l’amour, Dieu, l’éternité, l’immortalité etc. Et à ce moment-là, il devient une croix, au lieu d’être un cube dans lequel il est enfermé, cube qui représente la matière, le quatre.
    Lorsque les équilibres sont découverts, le quatre explose, se déploie et il devient une croix qui se met à tourner dans l’univers. Dès que l’homme associe au mouvement de l’univers son propre mouvement, il est à même de comprendre les grandes notions comme l’amour.

    Je reviens à la notion de la vie synonyme de l’amour.
    Dans votre vie quotidienne vous faites des expériences, vous avez des heurts, des problèmes, c’est une perpétuelle confrontation avec d’autres forces, avec d’autres états d’esprit, d’autres états de conscience, d’autres blocs. Tout ceci est comme un théâtre, un terrain où chacun a droit à sa découverte de la manière qu’il souhaite et comme il peut.
    C’est pour cela, comme je l’ai déjà dit, qu’il ne faut pas que vous espériez, où que vous vouliez un monde parfait, c’est inutile. Un monde parfait n’a plus de valeur, parce que l’individu ne peut ni apprendre, ni exercer sa liberté pour apprendre quelque chose. C’est comme s’il existait une immense université, avec tous les fonds qu’il faut pour cela, avec les meilleurs professeurs, les meilleurs instruments, les meilleurs livres, et qui n’accepterait pas des élèves à former, mais seulement des élèves qui ont tout compris.
    Vous comprendrez bien que dans cette université-là, aucun élève ne rentrera parce qu’en fait, il n’y aura que les professeurs qui seront capables d’y rentrer, ceux qui ont donc déjà compris. Mais une école, une université n’est pas là pour enseigner à ceux qui savent, elle n’a pas cette fonction. Une école a justement la fonction d’accueillir ceux qui ne savent pas, et représente une structure où ils pourront apprendre, et cette structure est animée par ceux qui savent.
    Mais vous connaissez l’ambiance des classes, vous savez que les élèves se comportent de façon bizarre même si le professeur arrive avec son autorité. Il y a des élèves qui, malgré tout, ne veulent rien apprendre, et d’autres qui apprennent très vite et avec bonne volonté.
    Le terrain de la terre est exactement comme celui-là, une école, avec par-ci, par-là, clairsemés tout autour du globe, des professeurs, des disciples, des initiés, des messies qui arrivent cycliquement pour enseigner aux hommes comment vivre. Ensuite, à l’intérieur de l’école, les individus sont libres d’apprendre et d’expérimenter ce qu’ils ont appris comme ils le veulent. Là, est tout l’intérêt de l’incarnation.

     

    La conférence du 27 06 87 en 3 parties

    Amour et pouvoir

    Les révélations pour qui ?

    Les mécanismes d'un mantra

     

    Conférence en audio 

    Annecy 27 06 87 

     

     Le Karma

     

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  • Religion, ascèse et ChristLa religion est avant tout un rituel pour contacter, pour communier avec une énergie. Tout le dogme qui est autour, n’est en fait, que la culture qui a été nécessaire pendant un certain temps pour faire en sorte que le rituel, qui s’accomplissait, soit intelligible pour les personnes.

    Si on se connaît, si on connaît son cœur, son degré de dépouillement, son intention spirituelle, on n’a pas besoin de nos jours d’attendre et de passer par tous les postes qu’autrefois on demandait, parce que l’homme d’aujourd’hui est quand même beaucoup plus instruit, connaissant, ésotériquement formé.

    Autrefois si un jeune homme des campagnes avait une pulsion spirituelle intérieure et qu’il allait voir le Maître de l’église, il lui fallait être formé, il lui fallait même souvent apprendre à lire parce qu’il ignorait même l’alphabet. 

    Les hommes ont dû créer  tout le système culturel d’éducation, pour pouvoir initier les profanes. Les système étant adapté, bien sûr, à la sensibilité d’une civilisation, à la capacité de ses chakras, à la capacité de la communauté. C’est pourquoi, régulièrement les religions tombent, ou les mouvements tombent, parce que ce qui était absolument utile il y a quelques siècles, ne l’est plus maintenant, et même cela devient une aberration. Ce qui reste, c’est tout simplement la ligne de la pulsion de la sagesse, de la communion, le rituel, mais toutes les choses annexes doivent être renouvelées.

    Si vous voulez absolument fusionner avec cette énergie, avec cet être qui veille sur vous comme le père lui-même, il faudrait que vous ayez à propos du Christ, une démarche complètement dépersonnalisée. Il faut vous dépouiller de tout ce que la religion ou de tout ce que certains textes ont écrit à propos de lui.
    Il ne faut même pas le chercher, car il est partout. Oubliez qu’il a vécu il y a deux mille ans, parce qu’il est en fait aussi présent en vous-même, qu’il a été présent en Jésus il y a deux mille ans. Il est l’essence même de votre âme, comme je l’ai dit tout à l’heure, il est la substance de la vie, le mouvement de la vie, et le principe d’évolution de la vie.

    Il y a des millions de disciples à travers le monde, qui sont agrippés à leur vérité, mais à quelle vérité ?


    Si justement ils y sont agrippés, ils font la preuve que ce n’est pas la vérité, car celui qui a la vérité, a les bras ouverts et libres et un sourire large comme le soleil. Il ne cherche même pas à défendre la vérité, parce qu’il connaît le plan et l’évolution, et il sait très bien que chacun arrivera à la vérité, quand il le voudra bien, quand il le pourra, et qu’il ne sert à rien de le forcer, de lui démontrer le précepte de la vérité, ou de le critiquer, parce qu’il a fait ceci, cela et que ce n’est pas spirituel.

    Un être qui est plein de compassion, est un être qui a compris ce qu’est le plan, alors qu’un autre qui n’a pas compris le plan, critique, juge, et dit : « cet homme ne me convient pas, ne me plaît pas ». En fait, il ne se supporte pas lui-même et dès qu’il rencontre des gens différents de lui-même, il ne supporte pas la relation.

    Il faut vous dépouiller pour rencontrer la vérité. Se dépouiller est avant tout un acte mental, et c’est pour cela que la plupart des disciples ne comprennent rien à l’ascèse.
    Ils se privent de ceci, ils se privent de cela, ils se sacrifient comme autrefois, dans les lointains millénaires on sacrifiait l’animal au nom de Dieu. Il se sacrifie et il souffre, il souffre comme l’animal lorsqu’il a été poignardé, parce qu’il se poignarde véritablement : « Tu ne feras plus cela » et la souffrance coule.

    Croyez-vous que Dieu et les Maîtres réclament cette chose ? Non. Ils ne se nourrissent, ni ne s’abreuvent du sang de la peine, du sang de la souffrance des hommes. Au contraire, plus l’homme souffre, plus l’homme saigne, et plus le Maître doit souffrir avec lui, parce que la vie est une et que chaque membre de cette vie est associé. Il souffre de sa même souffrance, parce qu’il est son Maître, et que de par la loi cosmique de responsabilité et de correspondance, ce qui se passe en son disciple est vécu par le Maître. Ce qui correspond à la parole de Jésus : « Tant qu’il restera une brebis perdue et égarée, toute l’humanité sera perdue et égarée ».

    Il en est de même entre les disciples et les Maîtres, entre les profanes et les Maîtres, parce que toute la vie est une. Ainsi Christ est responsable face au Père de la création. En fait, si on analyse du point de vue des responsabilités, le Christ est beaucoup plus votre Père que le Père qui est aux cieux, parce que c’est lui qui véritablement prend soin de vous, vous démontre le bien, et se sacrifie pour vous.
    Un individu, lorsqu’il est sur le cheminement spirituel devient la cellule d'un véritable organe, il se charge en même temps d’une responsabilité.

    Tout est responsabilité dans l’univers. 

    Ce qui compte, avant tout, c’est la fiabilité, donc la capacité à endosser la responsabilité, et endosser cette responsabilité n’est pas quelque chose de difficile, mais cela paraît souvent une montagne à faire pour des disciples. Les disciples voient la responsabilité comme une souffrance. Si j’ai la responsabilité, je vais être retardé, je vais devoir revenir, parce que des gens vont être dépendants de moi, parce que des évolutions vont dépendre de ma propre vibration, alors ils ne veulent pas de cette chose.

    Il existe un chemin dans le monde spirituel qui consiste à se débarrasser de toute responsabilité. Les êtres illuminés de cet ordre ne passent pas par le soleil, donc ne passent pas par le Christ, ils vont directement au Père. Mais lorsque l’on suit le cheminement, je dirais, traditionnel, lorsque l’on veut à la manière du Christ, aider l’humanité, aider toute la matière en quelque sorte, aider les animaux, les fleurs, l’atome lui-même, alors on rencontre le Christ et par lui le Père. Sinon on est complètement dévié sur le Père et l’individu ainsi illuminé s’en va complètement hors du système, et n’a plus aucune relation avec les hommes. Il continue son chemin de manière solitaire.

    Un être qui sait prendre des responsabilités spirituelles, ne fera pas forcément quelque chose de visible, souvent, les plus grandes responsabilités sont invisibles, elles sont de l’ordre de la vibration, de l’ordre du sacrifice du rayonnement, du sacrifice de l’âme pour l’humanité et cela n’a pas besoin de se voir, ni de se connaître, cela se fait.

    Il y a grandeur à partager cette responsabilité avec les Maîtres. Beaucoup de gens veulent rencontrer le Maître, mais lorsqu’on leur présente la responsabilité ils disent non. Et pourtant, s’ils arrivent à rencontrer le Maître, c’est bien parce que le Maître a pris la responsabilité de rencontrer le disciple et de souffrir avec lui si le disciple n’avance pas. Pensez toujours à celui qui se sacrifie pour vous et ainsi, vous arriverez à vous sacrifier pour vous-même, et ensuite pour les autres.

    La conférence du 07 11 87 en 3 parties

    Les 7 planètes sacrées

    Les forces cosmiques

    Télépathie mentale - Voyage en corps astral

     

    Conférence en audio 

    Genève 7 11 87 2h15

     

     Le Karma

     

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  • Qu'est-ce que l'intuition ?  11 09 86Qu’est-ce que l’intuition ?

    L’intuition est une relation constante que l’homme établit au fur et à mesure de son développement, de sa souplesse, de sa réceptivité, avec une forme de son moi supérieur.
    Dans l’âme vous avez trois plans ou trois formes. La première est toute éternité, toute réalité, c’est elle que vous devez réintégrer à la fin de la course solaire.

    La seconde est une sorte de pont. Là où sont justement les béatitudes, les illuminations, les états de Bouddha.
    Et en dessous il n’y a qu’intelligence.

    Donc, la première est d’une certaine manière, néant, puisqu’il n’y a que lumière, sans pensée, ni forme, ni état. Sa première manifestation, donc son deuxième aspect, c’est l’état d’illumination, l’état de béatitude, donnant lieu à un troisième l’intelligence.

    Cette intelligence peut parfois envoyer des messages, ou par son omniprésence, arriver à dialoguer avec la réceptivité de l’homme incarné. Cela est possible car cette troisième partie de La Trinité est omniprésente dans la vie de l’individu.
    La partie "intelligence" est celle qui récupère la synthèse de vos expériences dans les vies qui se déroulent et qui en fait ensuite une forme de nectar, qui sert à s’établir de manière plus consciente dans la vie divine.

    Cette intelligence par son omniprésence dans les différentes couches qui constituent occultement l’homme, arrive à être active jusque sur le plan du subconscient de l’inconscient.

    L’intuition étant un lien entre la partie inconsciente ou subjective de l’homme et sa partie objective. Le tout est de savoir être à l’écoute, de manière à attraper ce qui à un moment donné est envoyé dans l’inconscient afin qu’il devienne quelque chose d’objectif.

    Aujourd’hui tout ce qui vient du monde de l’esprit fait partie du monde occulte, et est caché à l’homme, parce que l’homme ne sait pas retourner vers ce monde-là. Pour l’instant, il vit ces polarités comme deux pôles qui s’éloignent,  au lieu de faire fusionner ces deux types d’énergie qui sont en lui.

    L’homme vit sa subjectivité le soir lorsqu’il dort, fait ses rêves, ses déplacements dans l’astral, ses cauchemars, et vit sa partie objective dans la journée, en calculant, en imaginant, en projetant, en désirant. Lorsqu’un individu arrive à un certain développement, il peut faire une sorte de synthèse, et le monde de l’esprit devient pour lui une réalité objective et non plus subjective. Alors l’intuition commence à naître.

    Comment la développer ?

    Tout le monde a un potentiel intuitif d’un degré assez puissant, puisque cette troisième partie de l’âme, l’intelligence, est omniprésente jusque dans la matière.
    Donc, tout le monde est capable d’être à l’écoute du mental de sa propre âme, de l’intelligence de sa propre âme. Ce qui rend cela souvent difficile provient que l’homme n’est pas assez à l’écoute, et que lorsqu’il reçoit le message, il ne l’exécute pas forcément, il ne le croit pas, parce que tout ceci se passe dans un laps de temps très court, à la vitesse d’un éclair.

    Une grande ouverture est nécessaire, mais les hommes sont toujours préoccupés par leurs soucis, leurs désirs. L’âme a beau parler, la conscience objective n’entend pas, parce que dans son pays, celui du physique, elle crée un brouhaha terrible.
    Imaginez un joueur de lyre dans un chantier. Elle aura beau être sculpturale, elle aura beau être poétique, sa musique ne passera pas. Il en est de même pour le langage de l’âme vis-à-vis de votre conscience objective.

    Si vous faites trop de bruits par vos soucis, vos négativités, vos préoccupations trop matérielles et trop obsessionnelles, par vos désirs, vos manques, vos traumatismes, et tout ce que vous imaginez, alors le langage de votre âme ne peut pas passer, le brouhaha est trop intense, et l’homme se sent d’autant plus isolé qu’il n’arrive pas à entendre.

    Pour capter toute intuition, ou pour effectuer toute méditation, il faut faire le calme, il faut créer en soi le calme, liquider en soi tout ce qui est obsessionnel, faire au moins cela. Si votre esprit est dégagé de tout ce qui est obsession, et traumatisme, alors il y a de fortes chances pour qu’à un certain moment de la journée, où votre réceptivité est plus ouverte, plus silencieuse, l’intuition arrive à passer.

    Un grand désarroi  rend aussi l’homme intuitif. Lorsque l'homme est aux abois et terriblement aux abois, dépassé par son manque de compétence, puisqu’il n’arrive plus à trouver de solution, il crée en lui une grande ouverture. Puisqu’il n’arrive plus à imaginer quoi que ce soit comme solution, il n'émet plus aucun bruit. A force d’avoir été saturé par l’activité d’une pensée qui essaie de trouver une solution et ne l’ayant pas trouvée, la pensée sombre, et une intuition peut venir.

    Au lieu de passer dans cet état de grande inquiétude, pourquoi ne pas faire simplement le calme, attendre et avoir confiance. Mais il est difficile de conseiller cela, parce que, selon la nature de l’individu, l’intuition perçue va pouvoir être plus ou moins claire, nette et pure. Certaines personnes, malgré un certain développement, ne peuvent pas se fier à leur intuition, parce que l’intuition est voilée.

    Il n’y a pas de recettes qui soient universelles.

    Tout est spécifique. Il ne faut pas imposer quelque chose à un homme. S’il peut écouter lui-même, très bien, sinon, passons à l’analyse de ce qu’il est, de ce qui le compose, et ensuite conseillons, mais pas avant.

    Beaucoup de personnes, vivant plus sur l’astral que sur la voie de l’esprit, même si elles sont orientées de manières religieuses, vont plutôt écouter leur exaltation, leur fanatisme, ou des créatures astrales, penser que cela est de l’intuition, mais en fait, ce sont des parasitages.

    Beaucoup de personnes se disent envahis d’intuitions, alors qu’ils sont inondés par les fantasmes de leur subconscient, de leur inconscient. Une intuition doit toujours être écoutée, mais, dès que l’homme a nettoyé en lui le chaos, la fièvre, et le bruit.
    À moins de cela, l’intuition ne sera pas fiable. Une fois ou deux elle pourra l’être, mais pas toujours. Plus vous vous nettoyez, plus vous vous épurez, et plus tout ce que vous recevrez, que ce soit par l’intuition ou par autre chose, sera une indication de votre âme ou de Dieu.

    À moins que vous n’atteigniez ce taux vibratoire, il est dangereux d’écouter les petits messages venus de l’au-delà. Parce que les créatures de l’astral, qui adorent parler, envoient sans arrêt des informations pour s’amuser avec les hommes, pour les troubler, pour rire d’eux. Donc, écoutez votre intuition, oui, mais d’abord élevez-vous, nettoyez en vous tout le subconscient qui s’est chargé de tout ce qui est néfaste, traumatisant.

    Comment la développer d’une manière technique, maintenant que nous avons mis au clair la partie purification et élévation ?

    Comme tous les pouvoirs, il faut d’abord développer le feu dans le ventre. Les pouvoirs n’ont pas leur source dans les étoiles ou ailleurs. Leur source n’est que flamme, et la seule source du feu dans l’homme c’est son centre à la base de la colonne vertébrale.
    Dans ce centre sacré sont tous les feux, tous les feux y dorment, les feux des sept rayons, les feux des sept chakras.

    Donc, lorsque vous voulez développer véritablement un pouvoir, il vous faut d’abord purifier tout ce qui concerne la mémoire de l’homme, et ensuite réveiller ce feu en correspondance avec ce que vous voulez acquérir.

    Pour tout ce qui est de la nature du pouvoir de l’esprit, pourquoi faut-il passer par des respirations, par une technique respiratoire ?

    Dans un premier temps, il faut purifier la matière en élevant son taux vibratoire. Les exercices respiratoires développent dans la cellule même un taux vibratoire supérieur, car pour exercer un pouvoir quel qu’il soit, que ce soit celui de la guérison ou un autre, il faut que la cellule vibre un petit peu au-dessus de celle des humains. Sinon, il n’y a pas d’extériorisation de pouvoir, c’est impossible.

    Mettez une ampoule trop faible sur une douille branchée sur un haut voltage, l’ampoule va éclater. L’ampoule est votre cellule. La lampe, votre potentiel de pouvoir. Pour que l’énergie de la lampe puisse rayonner en tant que lumière, il faut que l’ampoule ait la capacité adéquate. Donc, la cellule elle-même doit s’élever.

     

    La conférence du 11 09 86 en 3 parties

    Les énergies actuelles - Favoriser son intuition

    La signification du feu - Qu'est-ce que l'Esprit ?

    Signification du Karma - Conseils au groupe

     

    Conférence  audio non disponible

     

     Le Karma

     

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